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ARTICLE # 4 - MAXIMISER VOTRE PERFORMANCE FINANCIÈRE

Jean-Pierre Goulet

Comment les propriétaires de PME peuvent augmenter le rendement financier et la valorisation de leur entreprise.

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RÉSUMÉ

Les auteurs démontrent, à l’aide de trois simulations financières, comment les PME industrielles peuvent augmenter leur rendement et la valorisation de leur entreprise.

 Vous y verrez comment:

o   Augmenter vos bénéfices avant impôts de 20% à 25%.

o   Augmenter votre flux de trésorerie de 25% à 50%.

o   Augmenter le rendement de vos capitaux propres.

o   Augmenter le rendement du capital investi.

o   Augmenter la valorisation de votre entreprise, soit sa juste valeur marchande.

 « Il n’est pas nécessaire de faire les choses de manière extraordinaire

 pour obtenir des résultats extraordinaires » 

***Warren Buffett***

INTRODUCTION

Nous avons publié, dans les derniers mois, trois articles techniques qui décrivent en détail la démarche à suivre afin d’atteindre les objectifs précités. Ces articles ont été publiés sous les titres suivants :

o   Article # 1 - La Puissance du 1%.

o   Article # 2 - Gestion optimum du fonds de roulement.

o   Article # 3 - Rendement des capitaux propres.

Ces articles sont disponibles à l’adresse suivante : http://www.cimetech.com/blog  ainsi que sur le site du CLD Brome-Missisquoi (www.cldbm.qc.ca).

Le but de ce quatrième article est de reprendre ces trois thèmes et d’en faciliter la compréhension à l’aide d’exemples concrets.

Les PME représentent 99,8% (Institut de la statistique du Québec) des entreprises au Québec . Ces PME ont un immense impact sur l’économie québécoise. De leur succès (profitabilité et croissance) vont dépendre la qualité de vie de la collectivité québécoise.

Pour ce faire, ces entreprises se doivent d’être profitables, mais elles ont aussi besoin de générer de grandes liquidités afin d’assurer leur croissance et de pouvoir saisir les différentes opportunités qui s’offrent à elles.

Afin d’illustrer notre démarche, nous nous sommes inspirés, de façon générale, de trois PME manufacturières dont les chiffres d’affaires seraient respectivement de 1,3M$, de 3,0M$ et de 7,0M$. 

Les PME choisies sont des entreprises manufacturières de grande qualité. Elles sont reconnues comme étant performantes dans leur domaine respectif. Les équipes de direction sont compétentes et respectées. 

Au fil des années, ces entreprises ont implanté des programmes d’amélioration en gestion manufacturière, tel que la fabrication « Lean », la théorie des contraintes « TOC » et le 6 Sigma. Ces concepts ont aussi été implantés dans les processus administratifs afin de rendre ceux-ci plus efficients. 

En résumé, ces trois entreprises sont déjà performantes et profitables. Malgré tout, les gestionnaires de ces entreprises sont constamment dans le feu de l’action et parfois, ils oublient que l’amélioration minimale de certains indices opérationnels peuvent considérablement les aider à augmenter leurs rendements financiers et par conséquent, la valorisation de leurs entreprises. 

Nous avons voulu démontrer par cette introduction qu’il y aura toujours de la place pour améliorer la performance financière et opérationnelle, même pour les entreprises performantes!

Données financières

Le tableau 1 indique les données de base requises pour l’analyse de chacune des trois simulations. Ces données sont tirées des états financiers non-audités typiques d’entreprises manufacturières.

TABLEAU 1

TABLEAU 1

1.    LA PUISSANCE DU 1%

À partir des données présentées au tableau 1, nous avons calculé et montré au tableau 2, l’impact individuel des mesures suivantes:

1.1 Augmentation du prix de vente de 1%.

1.2 Augmentation du volume de vente de 1%.

1.3 Diminution du coût des marchandises vendues (CDMV) de 1%.

1.4 Diminution des frais fixes de 1%.

TABLEAU 2

TABLEAU 2

Explications - PME à 3,0M$

 1.1 Augmentation du prix de vente de 1% : Cette mesure fait augmenter le chiffre d’affaire de +30,000$, sans aucun coût direct ou indirect supplémentaire. Ceci résulte en une augmentation de +30,000$ des bénéfices avant impôts, ce qui se traduit par une hausse du bénéfice avant impôts de +14,0%

L’article  « Managing price, gaining profits », paru en 1992 dans le Harvard Business Review, révèle qu’une simple augmentation de 1% du prix de vente fera augmenter les profits de 11,1% » (échantillon de 2,463 entreprises).

1.2 Augmentation du volume de vente de 1% : Cette mesure fait augmenter le chiffre d’affaires de +30,000$, avec une augmentation comparable de 1% des CDMV, mais sans augmentation des frais fixes. Ceci fait en sorte que le bénéfice avant impôts augmente de +8,250$, ce qui se traduit par une hausse du bénéfice avant impôts de +3,8%.

 1.3 Diminution du coût des marchandises vendues (CDMV) de 1% : La réduction des CDMV de 1% fait en sorte que le bénéfice avant impôts augmente de +21,750$, ce qui se traduit par une hausse du bénéfice avant impôts de +10,1%.

 1.4 Diminution des frais fixes (FF) de 1% : La réduction des FF de 1% fait en sorte que le bénéfice avant impôts augmente de +6,100$, ce qui se traduit par une hausse du bénéfice avant impôts de +2,8%.

 L’addition de ces quatre mesures fait augmenter le bénéfice avant impôts de +66,100$, soit l’équivalent d’une hausse totale de +30,7%. Note : Pour les fins de cet article, nous n’avons pas calculé l’impact cumulatif de ces mesures.

 On peut donc constater l’impact important de ces petites améliorations sur la hausse du bénéfice avant impôts. 

 Pour augmenter le bénéfice avant impôts du même montant, soit de +66,100$, il faudrait, dans des conditions similaires, augmenter le volume des ventes de +240,4k$ ou l'équivalent de +8,0%

 On remarquera, au tableau 2, que l’augmentation de +1,0% du prix de vente versus l’augmentation de +1,0% du volume des ventes est de 3,7 fois plus importante en termes d’impact sur la profitabilité.

Le graphique 1 indique l’impact en $ de chacun des indices financiers pour la PME de 3,0M$. Le graphique 2 montre l’impact en % de chacune de ces mesures sur l’augmentation des BAI.  

GRAPHIQUE 1

GRAPHIQUE 1

GRAPHIQUE 2

GRAPHIQUE 2

2. GESTION OPTIMUM DU FONDS DE ROULEMENT

À partir des données présentées au tableau 1, nous allons calculer maintenant l’impact des mesures suivantes :

2.1 Réduction de la période de perception des comptes clients.

2.2 Réduction du niveau des stocks.

2.3 Augmentation de la période de paiement des comptes fournisseurs.

 Explications - PME à 3,0M$

Le tableau 3 indique que le fonds de roulement initial requis est de 800,000$, ou l’équivalent d’un cycle opérationnel de 106,6 jours

À partir de données publiées par Statistiques Canada pour des entreprises similaires (voir colonne « benchmark » dans le tableau 3), on a comparé les données opérationnelles de l’entreprise:

TABLEAU 3 - Données - Fonds de roulement

TABLEAU 3 - Données - Fonds de roulement

Note : Pour la méthodologie de calcul, voir notre article #2 : Gestion optimum du fonds de roulement.

On constate qu’il y a un écart important entre la situation actuelle et celle où se situe la moyenne des entreprises de ce secteur industriel: 106,6 – 54,7 = 51,9 jours d’écart. 

2.1 Réduction de la période de perception des comptes clients

La perception des comptes à recevoir (73,0 jours) est beaucoup plus longue que la moyenne de l’industrie qui est de 45 jours. 

Cet écart de 28 jours représente à lui seul une réduction des besoins en fonds de roulement de 230,000$. Note : La formule = (Vente annuelle ($) / 365 jours) x (# jours d’écart).

 2.2 Réduction du niveau des stocks

Les stocks sont trop élevés (83,9 jours versus 60 jours pour la moyenne de l’industrie). Cet écart de 23,9 jours représente à lui seul une réduction des besoins en fonds de roulement de 142,500$. Note : La formule = (CDMV annuel ($) / 365 jours) x (# jours d’écart).

 2.3 Augmentation de la période de paiement des comptes fournisseurs

Même s’ils sont comparables à la moyenne de l’industrie, les comptes fournisseurs sont payés en retard de 20,3 jours si l’on suppose qu’ils sont payables en moyenne à 30 jours. L’entreprise veut probablement protéger son fonds de roulement en retardant ses comptes fournisseurs. Note : La formule = (CDMV annuel ($) / 365 jours) x (# jours d’écart).

Cette façon de faire peut engendrer :

o   Des frictions avec les plus importants fournisseurs.

o   Causer des prix d’achat plus élevés, ce qui peut nuire à la compétitivité de l’entreprise dans certains de ses marchés.

L’entreprise pourrait envisager de payer plus rapidement ses comptes fournisseurs surtout si elle pouvait négocier un escompte de 1%, voire 2%.

 En résumé

Le cycle d’exploitation initiale est de 106,6 jours. Selon les hypothèses indiquées, le cycle d’exploitation pourrait être de 54,7 jours, soit une réduction de 51,9 jours. Ceci signifie que l’entreprise joue le rôle de « banquier » 51,9 jours de trop !

Si l’entreprise atteignait les objectifs fixés, elle pourrait réduire ses besoins en fonds de roulement de 372,603$, soit une réduction de 46,6%. Dans ces conditions, le fonds de roulement requis serait de 427,397$ au lieu de 800,000$. Voir le tableau 3.

La diminution des coûts indirects liés à ces mesures d’amélioration est estimé à environ 40,000$, soit 11,507$ pour les comptes à recevoir (taux d’intérêt estimé de 5% sans compter les coûts de perception) et 28,493$ pour les coûts indirects pour supporter les stocks en trop. 

 ·  Coût – Maintien des stocks : Plusieurs études ont démontré que le coût de maintenir des stocks, varie entre 20% et 35% de la valeur des stocks.

·  Coût – Perception des recevables : nous avons choisi un coût d’intérêt de 5%. Cependant ce coût pourrait être plus élevé (exemple : affacturage).

Cette économie de 40,000$ de coûts indirects représente une hausse de +18,6% des bénéfices avant impôts.

Le tableau 4 résume l’ensemble des données obtenues suite aux hypothèses indiquées dans cet article. 

TABLEAU 4 – Résultats des hypothèses

TABLEAU 4 – Résultats des hypothèses

Discussions – PME à 3,0M$:

  • Nouvelles ventes : Les ventes sont passées du montant initial de 3,0M$ à {3,0M$ + 30,000$ (hausse du prix de vente de +1,0% sur le volume initial) + 30,000$ (hausse du volume de vente de +1,0% sur le volume initial)}, pour un total de 3,060,000$

  •  Frais fixes : Les nouveaux frais fixes ont été réduits de 1,0% de leur valeur initiale.

  •  Marge brute : Pour calculer la nouvelle marge brute, nous avons utilisé l’astuce suivante : Marge brute = {(Frais fixes réduits de 1,0%) + (bénéfices avant impôts)}.

  •  CDMV : Pour calculer le nouveau CDMV, nous avons utilisé l’astuce suivante : CDMV = (Nouvelle vente – marge brute).

  • Bénéfices avant et après impôts : Dans le but de simplifier la démarche, nous avons utilisé simplement le ratio initial pour les impôts à payer, soit « bénéfices après impôts / bénéfices avant impôts ».

  •  Nouveaux bénéfices avant impôts : C’est l’ensemble des améliorations, plus le bénéfice avant impôts initial.

  • Actifs totaux : Il s’agit du montant initial, plus la croissance des bénéfices après impôts.

  • Avoir des actionnaires : Il s’agit du montant initial, plus la croissance des bénéfices après impôts

3. RENDEMENT SUR INVESTISSEMENT

Afin de mesurer l’impact de l’implantation des sept mesures précédentes sur la rentabilité de l’entreprise, nous allons évaluer le tout avec les deux indices suivants, soit le « rendement sur les capitaux propres (RCP) » et le « rendement sur le capital investi (RCI) ».

 Le tableau 5 résume la situation « actuelle » et la situation « améliorée » selon les hypothèses développées dans ce texte :

TABLEAU 5 - Résultats

TABLEAU 5 - Résultats

Note : Pour la méthodologie de calcul, voir notre article #3 : Rendement des capitaux propres.

Discussions – PME à 3M$

Rendement des capitaux propres (RCP) : Celui-ci a augmenté de 46,8% à 56,7%, soit une hausse de +21,4%. 

o   Dépendant du secteur, les investisseurs recherchent au moins 25% de RCP compte tenu des risques encourus dans une PME.

Rendement des capitaux investis (RCI) : Celui-ci a augmenté de 9,8% à 14,0%, soit une hausse de +42,4%. 

 o    Dépendant du secteur, les investisseurs recherchent au moins 15% de RCI compte tenu des risques encourus dans une PME. 

 Après avoir fait tous ces calculs, on peut conclure que l’effet de « La Puissance du 1% » et l’effet de la « Gestion optimum du fonds de roulement » donnent des résultats extrêmement positifs :

TABLEAU 6 - Résultats

TABLEAU 6 - Résultats

4. IMPACT SUR LA VALORISATION DE VOTRE ENTREPRISE

 Quel est l’impact de ces résultats améliorés sur la valeur de votre entreprise?

 En évaluation d’entreprises, il y a généralement trois (3) grandes approches qui sont considérées pour évaluer la juste valeur marchande (JVM) d’une entreprise :

 A.  L’approche reposant sur les perspectives de rendement pour l’investisseur.

 B.   L’approche fondée sur la valeur des actifs de l’entreprise. (Prix minimal de l’entreprise).

 C.  L’approche fondée sur le marché ou entreprises similaires.

L’évaluateur agréé vous conseillera sur l’approche convenant le mieux à votre entreprise. Pour fins d’illustration, l’un des facteurs utilisés lors d’une évaluation est le ratio « JVM / BAIIA ». 

Selon First Research (http://www.firstresearch.com), tout en considérant le secteur de votre industrie, le ratio « JVM/BAIIA » pourrait se situer dans une fourchette de 3.5 à 6.0. 

Si nous prenons notre exemple précédent (PME à 3,0M$), la croissance du bénéfice avant impôts a été évaluée à +106,100$. L’application du ratio « JVM / BAIIA » sur l’augmentation de la juste valeur marchande de l’entreprise, se situerait donc entre +371,350$ et +636,600$ pour une moyenne de +477,450$ (ratio moyen de 4.5). 

Cette somme additionnelle de la valorisation de l’entreprise démontre l’effet positif d’améliorer les aspects financiers et opérationnels de votre entreprise. 

TABLEAU 7 - Valorisation

TABLEAU 7 - Valorisation

CONCLUSION

Ce qu’il faut retenir, c’est que les efforts concertés pour améliorer la performance de votre entreprise sont triplement importants :

 1 - Dans un premier temps, elles permettent d’augmenter significativement le rendement de votre investissement

2 - Dans un deuxième temps, les liquidités additionnelles générées vous donnent la possibilité de réaliser plus rapidement vos projets et d’accélérer votre croissance.

 3 - Dans un troisième temps, elles ont un effet multiplicateur sur la juste valeur marchande de votre entreprise.

Nous voulions démontrer par cet article que chaque petit geste bien ciblé peut grandement améliorer le rendement des actionnaires et la valorisation de votre entreprise.

Pour de plus amples informations, n’hésitez pas à communiquer avec les auteurs de cet article.

 

POUR ALLER PLUS LOIN ‒ CIMETECH

Cimetech (www.cimetech.com) a développé de nombreux outils en ingénierie financière, dont le Factory Profit Optimizer (FPO), que ses clients industriels connaissent très bien, ainsi qu’un programme en ingénierie manufacturière appelé GPS.

Le FPO a permis à la majorité de nos clients, au fil du temps, de doubler et même de tripler leurs bénéfices avant impôts. Certains ont quintuplé leurs bénéfices avant impôts sur une période de quelques années seulement. 

L’un de nos clients a diminué ses ventes de plus de 10 % et il est passé d’une perte opérationnelle à un bénéfice avant impôts. Un autre client est passé d’une perte opérationnelle de 1 M$, à un bénéfice avant impôts de 1,5 M$, avec le même volume de vente, en 24 mois.

Dans d’autres cas, quelques-uns de nos clients ont investi en capital l’équivalent de 40 % à 50 % de leur chiffre d’affaires en nouveaux équipements et en bâtiments. Ils ont alors réussi à maintenir et même à dépasser le niveau de bénéfices avant impôts qu’ils avaient auparavant et ce, même si les frais de financement et les frais d’opération manufacturière ont augmenté.

Le programme GPS a permis à quelques-uns de nos clients d’augmenter leur capacité potentielle de vente de plus de 20 %, sans ajouts de ressources ou de frais fixes supplémentaires, en plus de diminuer leurs délais de livraison de plus de 50 %.

NOTE SUR L’AUTEUR 

Jean-Pierre Goulet a fondé Cimetech International inc. en 1998. Il est ingénieur et maître en science appliquée. Son objectif est d’aider les PME industrielles à augmenter leurs bénéfices avant impôts et de faire croître leur flux de trésorerie, par l’ingénierie financière et par l’ingénierie manufacturière. Courriel : jpgoulet@cimetech.com

POUR ALLER PLUS LOIN – CLD BROME-MISSISQUOI

Le CLD Brome-Missisquoi (www.cldbm.qc.ca) accompagne les entrepreneurs dans la réalisation de leurs projets. 

Le CLD est un guichet unique de services en démarrage et en développement d’entreprise : mentorat d’affaires, formations de haut niveau en gestion d’entreprises, financement, subventions, recherche de locaux et de bâtisses et autres accompagnements-conseils. 

Notre mission est de stimuler la croissance économique et de développer l’entrepreneuriat dans une perspective de développement durable en collaborant avec les intervenants dans les secteurs de la ruralité, de la culture, du tourisme et de l’industrie manufacturière.

 NOTE SUR LE CO-AUTEUR 

René Beaulieu est conseiller industriel senior au Centre local de développement de Brome-Missisquoi (CLD BM). Il est ingénieur industriel de formation et a œuvré durant plus de 15 années dans le domaine du capital de risque dont Investissements Desjardins et le Fonds régional de solidarité – Montérégie. 

Il a siégé à de nombreux conseils d’administration et a accompagné plusieurs entreprises dans leurs démarches de financement et de planification stratégique.

Courriel : rbeaulieu@cldbm.qc.ca

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